La bonne, prise de pitié, nourrit l’orphelin pendant l’absence de ses maîtres. À leur retour, le couple fortuné n’en crut pas ses yeux.
Ioulia Antonovna servait depuis de longues années dans la maison des Grigoriév — Vladimir et Lioudmila. Ce jour‑là, les maîtres étaient sortis quelque part, et la bonne, après avoir terminé toutes ses tâches, s’était assise près de la fenêtre pour se reposer. Soudain, son regard fut attiré par un petit garçon dans la rue. Maigre … Read more