Je n’ai pas adopté un enfant dans un orphelinat ; j’ai secouru une grand‑mère d’une maison de retraite — et je ne le regrette pas.
Quand quelqu’un adopte un enfant, on sourit d’approbation, on hoche la tête avec respect, voire on en a les larmes aux yeux. C’est noble, touchant, non ? Mais si je vous disais que j’ai fait quelque chose de semblable, et pourtant totalement différent ? Je ne suis pas allé·e à l’orphelinat ; je suis allé·e dans une maison … Read more