Mon mari est parti vivre avec sa maîtresse. Sans un mot, j’ai pris ma belle-mère, clouée au lit, et je la lui ai confiée. Avant de partir, j’ai prononcé une phrase qui les a tous deux laissés livides…
Je n’ai pas répondu tout de suite. J’ai simplement fini d’ajuster les roues du fauteuil, j’ai caressé doucement les cheveux de sa mère et j’ai dit : « Maman, tu seras bien ici. Ton fils aura enfin le temps de s’occuper de toi. » Advertisment Elle a souri, avec cette douceur naïve de ceux qui … Read more